Des services digitaux optimisés

SMI adapte en permanence les espaces sécurisés de ses clients afin de répondre au mieux à leurs besoins et à leurs usages.

Depuis plusieurs années, l’espace adhérent est devenu le canal de communication privilégié de nos clients, qu’ils bénéficient d’un contrat collectif ou individuel. Cette plateforme supplante ainsi le téléphone et le mail, car elle permet d’effectuer facilement et à n’importe quel moment toutes les démarches et demandes relatives aux remboursements, aux prises en charge, aux services, etc.

Elle permet également aux équipes de gestion de SMI de tracer toutes les demandes et de les traiter plus rapidement, dans un environnement sécurisé.

Afin de répondre aux attentes et aux besoins des adhérents et d’améliorer l’expérience utilisateur, SMI procède régulièrement à des évolutions sur cet espace. L’objectif ? Favoriser un accès simplifié aux différents services et améliorer la lisibilité des informations.

Dernièrement, plusieurs modifications ont été apportées :

Ainsi, ces changements permettent aux utilisateurs d’effectuer leurs démarches de manière plus intuitive et de trouver plus simplement les informations recherchées. D’autres travaux d’optimisation sur l’espace adhérent sont prévus et les espaces dédiés aux entreprises et aux partenaires bénéficieront également bientôt d’évolutions sur le fond et la forme.

Du nouveau sur le site internet SMI

SMI a réalisé d’importantes évolutions sur son site institutionnel pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs du web.

Une analyse des requêtes des internautes sur les moteurs de recherche montre que de nombreuses personnes s’interrogent sur la prise en charge de leurs dépenses de santé, sur le rôle et le fonctionnement des mutuelles par rapport à la Sécurité sociale, sur la compréhension de certains termes, etc.

Dans un secteur en perpétuelle évolution réglementaire comme la santé, les usagers ont besoin de définitions et d’explications pour savoir ce qui restera ou non à leur charge et pour choisir l’offre qui correspond le mieux à leurs besoins.

Afin de répondre à cette problématique, SMI a décidé de faire évoluer son site internet selon trois axes.

Accessible depuis la page d’accueil ou depuis le menu « Particulier » et « Professionnel ». Elle comprend des articles étoffés sur les principales thématiques relatives aux complémentaires santé : les différents types de contrats, les garanties, les remboursements, etc. Ces pages sont illustrées par des exemples et renvoient vers les textes législatifs le cas échéant. Actuellement dédiés à la santé, ces contenus vont s’enrichir au fil du temps et aborderont également la prévoyance ;

Nous avons totalement revu cette partie pour offrir une meilleure expérience utilisateur. En plus d’un enrichissement du nombre de questions traitées, il est désormais possible de visualiser toutes les entrées relatives à un sujet en sélectionnant simplement celui-ci. Un moteur de recherche a également été ajouté pour simplifier l’exploration et il possible de filtrer les contenus par profil (entreprise, particulier, professionnel). Les questions les plus fréquentes sont enfin affichées dès la page d’accueil de la rubrique.

Pour retrouver facilement un article, il suffit maintenant d’appliquer des filtres selon la thématique, le profil et le type de contenu. Cet outil est particulièrement intéressant pour les entreprises qui souhaitent consulter des informations réglementaires mais aussi pour les particuliers ou les professionnels qui cherchent des renseignements sur les services de SMI ou des conseils pour leur santé.

Comment les objets connectés révolutionnent
la santé et le bien-être ?

À une époque où les pouvoirs publics se préoccupent du « Bien vieillir » de la population et où beaucoup expriment l’envie de vivre plus sainement, l’e-santé et la santé connectée apportent de nombreuses solutions en médecine préventive et curative. Découvrez l’avenir de notre médecine.

La digitalisation des services de santé permet, d’une part, d’optimiser la qualité des soins grâce à des données de plus en plus précises et, d’autre part, d’en faciliter la gestion administrative.

Pour rappel, l’e-santé comprend l’ensemble des services numériques et mesures destinées à la transformation digitale du paysage médical, comme les objets connectés et les applications mobiles, les prescriptions électroniques, le dossier médical informatisé (DMI), le portail maSanté, etc.

Quant à la santé connectée, elle fait partie de l’e-santé dont elle occupe la part la plus importante. Elle regroupe :

– l’ensemble des objets que l’on peut porter quotidiennement sur soi, comme les montres, les bracelets, les ceintures, etc ;

– les applications sur smartphone (que l’on nomme m-santé pour « mobile santé ») ;

– les objets utilisés ponctuellement qui transmettent des informations directement à une application ou à un serveur (lecteur de glycémie, tensiomètre, etc.).

L’utilité de ces équipements est de récolter des renseignements et des données pour permettre à chacun de piloter son bien-être et/ou son suivi médical.

L’essor de la médecine à distance et la sophistication de ces équipements numériques impactent également la manière de travailler des professionnels de santé. La santé 2.0 révolutionne la prise en charge des patients mais impose aussi de nouveaux défis à relever et autant de questions : qu’apportent les objets connectés dans le maintien de notre santé ? Sous quelles formes peut-on trouver la santé connectée ? Quels sont les points de vigilance et d’amélioration ? SMI répond à toutes vos questions sur la santé de demain !

Sous quelles formes peut-on trouver la santé connectée ?

L’innovation technologique a permis la création d’objets de santé de précision pour tous types de besoins médicaux. Découvrez certains d’entre eux.

Parmi les objets intelligents de bien-être ou de surveillance médicale, vous connaissez sûrement les capteurs d’activité physique, la balance connectée qui calcule directement votre indice de masse corporelle, le pilulier connecté pour ne plus oublier de prendre son traitement dans les temps, etc. Voici une liste de quelques outils connectés de prévention originaux qui sont susceptibles de vous séduire par leur simplicité d’utilisation et leur utilité au quotidien.

La brosse à dents intelligente pour un soin toujours plus précis

Cet accessoire de pointe permet de mesurer la durée et la fréquence du brossage, analyse son efficacité et les zones nettoyées pour améliorer l’hygiène bucco-dentaire des usagers, surtout celle des enfants. Il vous est donc désormais possible d’améliorer progressivement votre brossage ainsi que votre assiduité. Elle fonctionne comme une brosse à dents électrique conventionnelle, mais se distingue par sa connectivité. Équipée de capteurs de mouvements et d’une connexion Bluetooth, elle est capable de :

Le coussin connecté pour prévenir du mal de dos

Adaptable sur n’importe quel type de siège, les coussins connectés corrigent la posture pour soigner progressivement et durablement les douleurs de dos dues au travail ou au télétravail. L’utilisateur ou utilisatrice de ce coussin d’assise est alerté dès qu’il ou elle perd sa “position idéale” pendant trop longtemps. Une vibration discrète indique qu’il est temps de se repositionner correctement sur la chaise ou le fauteuil de bureau équipé. Deux avantages à ce système : le temps passé à “mal se tenir” diminue drastiquement, et le corps mémorise naturellement et progressivement sa position optimale. Certains coussins peuvent également calculer votre rythme cardiaque et celui de votre respiration, afin de vous prévenir d’état de stress ou de fatigue. Cela se traduit par des conseils directement envoyés sur votre smartphone au moment où vous en avez besoin.

La fourchette minceur ou e-fourchette qui fait perdre du poids

C’est bien connu, manger trop vite contribue au surpoids et à une mauvaise digestion. Cet ustensile connecté a pour objectif de vous faire manger plus lentement pour que la satiété se déclenche plus rapidement. C’est tout simple : la fourchette intelligente vibre lorsque l’intervalle entre deux bouchées est insuffisant, invitant son propriétaire à ralentir son coup de fourchette.

La bouteille connectée intelligente

Cet objet propose plusieurs fonctionnalités sur des applications dédiées en fonction du contenu de la bouteille. Si la bouteille contient de l’eau, vous pouvez y suivre votre consommation et améliorer votre hydratation trop souvent insuffisante grâce à des conseils. Si le liquide est du vin, elle permet de surveiller le taux d’alcool.

Le briquet connecté qui chasse la cigarette

L’e-briquet enregistre la consommation de cigarettes et la fréquence de consommation. Il est possible de consulter le bilan journalier sous forme de graphique afin de voir si les objectifs définis ont été respectés. Il est possible de limiter le nombre d’allumages du briquet par jour ou imposer des périodes de pause : en cas de dépassement, le briquet ne s’allume pas. D’après le site d’information correspondant à cette innovation, le système permettrait à ses utilisateurs de réduire leur consommation de 30 % en moyenne.

La lentille de contact intelligente pour diabétique

Les porter permet à son utilisateur de mesurer instantanément son taux de glucose dans le sang à partir des sécrétions lacrymales. Cette technique est bien moins contraignante que les piqûres sur le bout du doigt. Selon les données recueillies, elle indique la nécessité d’effectuer une injection d’insuline.

Les vêtements en fibre intelligente pour prévenir d’un dysfonctionnement respiratoire ou cardiaque

Cette liste est loin d’être exhaustive et la variété d’objets connectés s’élargit de plus en plus dans le secteur médical. Voilà de quoi dormir tranquille : la Tech travaille et les nouvelles solutions ne manquent pas !

Quels sont les points d’amélioration de la santé connectée ?

Dans cet écosystème récent, il reste des étapes à franchir pour optimiser les services proposés par la santé connectée. Quels sont les défis à venir ?

Avant de choisir l’objet connecté qui répondra le mieux à vos attentes, il est important de connaître les freins et les risques liés à leur utilisation, comme le possible détournement des données à des fins commerciales ou à leur piratage. Voici les pistes d’amélioration envisagées par les pouvoirs publics et privés pour améliorer le fonctionnement des objets connectés.

Mieux protéger les données

Selon l’OMS (Organisation mondiale pour la santé), la santé numérique doit permettre à tous l’accès à des services de santé de qualité, tout en garantissant la confidentialité et la sécurité des informations de santé des patients. Les données de santé touchant à l’individu sont très prisées et se vendent cher. Or, la politique de protection des données est à son balbutiement tout comme la confidentialité des informations sensibles récoltées, pas toujours cryptées sur le téléphone et parfois transmises à des services tiers. Où sont conservées les informations ? Par qui ? Pour en faire quoi ? Pour l’heure, le domaine est peu réglementé car le législateur n’a pas encore statué sur les objets connectés.

Fiabiliser les conseils et suivis

À ce jour, il n’existe pas de label public officiel attestant de la fiabilité et de la qualité d’une application ou d’un objet connecté. Ainsi, de nombreux équipements n’ont pas obtenu de tampon attestant une approbation scientifique. Pour les multiples objets qui reposent sur “l’automesure”, sans soutien médical, il convient de rester prudent quant à l’interprétation des résultats. Mesurer soi-même ne signifie pas auto-diagnostic, et en cas de pathologie, l’avis d’un spécialiste de santé prévaudra toujours.

Réfléchir sur le remboursement des objets connectés

Financièrement, le prix des objets connectés est souvent élevé et le remboursement par la Sécurité sociale est très rare. Pour être pris en charge par l’Assurance maladie, l’équipement doit être :

Faciliter l’accès à ceux qui en ont le plus besoin

Les objets connectés peuvent apporter une solution aux déserts médicaux, aux patients souffrant d’une maladie chronique et à la hausse des frais de santé. Néanmoins, les plus vulnérables qui auraient le plus besoin de ces assistants numériques sont souvent âgés, non-initiés aux nouvelles technologies, déconnectés, isolés dans des zones dépourvues de réseau téléphonique et souffrant de précarité financière.

Le spectre de l’individualisation de l’assurance maladie 

En France, la loi interdit de faire varier les tarifs en fonction du comportement ou de l’état de santé des patients. Pourtant, la crainte que la mise en place d’une complémentaire santé « à la carte » soit autorisée existe. Elle permettrait aux assureurs de fixer des remboursements ou des cotisations corrélés aux risques pathologiques de l’assuré, à son hygiène de vie, à son environnement, etc.

Ces pratiques sont mises en place outre atlantique et certains assureurs américains proposent déjà une offre dématérialisée associant téléconsultations, accès à un réseau médical géolocalisé, check-up gratuits, etc. Les adhérents sont équipés de bracelets d’activité et les « bons comportements » sont récompensés à hauteur de 1$ par jour et 240$ annuels au maximum.

 Développer l’interopérabilité entre les solutions et systèmes de santé

L’utilisation des solutions numériques au service de la santé implique une utilisation croissante et diversifiée du nombre de logiciels par les professionnels de la santé. Pour que les objets connectés soient utilisés efficacement, il faut donc optimiser et sécuriser la connexion entre les différents acteurs de la santé en :

Même si certains chantiers restent à mener, plus de 400 000 applications de santé et de fitness sont disponibles en téléchargement sur les différents magasins en ligne (App Store, Google Play Store, etc.). Cela suppose que de plus en plus de personnes font confiance à la santé connectée et sont disposées à enregistrer et partager leurs données de santé.

Le conseil de Liz :

Avant l’utilisation d’un appareil connecté, prenez le temps de lire les conditions générales d’utilisation. Ceci vous permettra de vérifier si les informations transmises arrivent chez un hébergeur agréé pour recueillir vos données de santé à caractère personnel.

Pour consulter la liste, rendez-vous sur le site E-sante.gouv.fr.

Pourquoi les objets connectés sont-ils devenus des alliés pour notre santé ?

Les objets connectés dédiés au bien-être et à la santé sont incontournables. Quels sont les atouts de ces équipements intelligents ?

Dans le domaine de la santé, Il existe deux catégories d’objets connectés : ceux à usage purement personnel et ceux réservés à l’usage médical. Même si certains les considèrent comme des gadgets, les ventes d’objets connectés explosent. S’ils séduisent autant, c’est parce qu’ils apportent de nombreux avantages que ce soit pour piloter son bien-être et/ou pour optimiser son suivi médical. Voici un aperçu de ce que peuvent apporter les objets connectés dans l’amélioration de notre santé.

Une source de motivation pour booster votre bien-être

Les capteurs d’activités physiques (podomètre, montre connectée, etc.) sont les objets connectés les plus vendus. Ils agissent comme un véritable coach personnalisé. Ils rappellent régulièrement le but à atteindre, informent des progrès réalisés et encouragent à poursuivre la progression.

Si vous avez des difficultés à suivre un régime, à manger plus équilibré ou à vous mettre au sport, les objets connectés vous aident à y arriver.

Un suivi de santé plus efficace

Les objets connectés dits « de santé » facilitent la surveillance régulière des paramètres physiologiques (glycémie, tension, qualité du sommeil, poids, prise de médicament, rythme cardiaque, etc.) et rappellent le traitement à prendre. De plus, ils sont souvent enrichis de conseils personnalisés automatiques et permettent à l’utilisateur d’ajuster ses comportements en fonction des résultats. Entre deux rendez-vous médicaux, les objets connectés sont là pour lui permettre de garder un œil sur sa santé en temps réel. De plus, certains équipements permettent la transmission des données collectées au médecin traitant ou à un spécialiste.

Simplicité d’utilisation, accessibilité aux soins et gain de temps

Ces petits équipements mobiles sont pratiques, faciles d’utilisation au quotidien et offrent une alternative à l’un des problèmes les plus urgents dans le domaine des soins de santé : l’accessibilité rapide et simple. Dans certains cas, ils peuvent aider le patient à limiter les déplacements chez les médecins et l’attente pour se soumettre à des tests médicaux et/ou pour recevoir les résultats. Grâce au suivi personnalisé, la fréquence de consultation chez le médecin peut être amenée à baisser, ce qui permet de faire plus d’économies. Le glissement vers les soins de santé à domicile est envisageable et pourrait être très important pour les habitants des zones rurales, les patients alités ou ceux qui sont handicapés par l’absence d’un tissu médical fiable.

Prévention des complications liées à une maladie ou une urgence

À partir des données récoltées, les objets intelligents sont en mesure de donner un signal d’alerte lorsque l’état de santé est inquiétant. Lors d’une consultation ou en cas d’urgence, les praticiens obtiennent un accès immédiat aux antécédents médicaux du patient, ce qui permet de :

Grâce à l’évolution rapide des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle, les objets connectés sont de plus en plus diversifiés et pointus. Dans le monde médical, ils sont considérés comme une opportunité pour améliorer les soins, l’accompagnement et la surveillance des patients en continu. De nombreux praticiens souhaiteraient pouvoir les intégrer dans leurs prescriptions.

Le conseil de Liz :

Voici quelques précautions qu’il convient d’adopter pour optimiser l’utilisation des objets connectés :

– se renseigner, avant l’achat, sur le fonctionnement de l’objet, ses caractéristiques, ses dispositifs de protection, etc. ;

– sécuriser son smartphone, sa tablette, l’objet lui-même s’il y a lieu ainsi que l’application liée à l’objet par un mot de passe fort et changer ce mot de passe régulièrement ;

– si l’objet est associé à un compte en ligne, utiliser un pseudonyme ;

– partager ses données uniquement avec des personnes de confiance ;

– éviter d’automatiser le partage avec d’autres services, en particulier vers les réseaux sociaux ;

– prendre l’habitude de supprimer des informations et données enregistrées qui ne sont plus utiles.